Un drôle de réveil que j’ai u le droit ce matin pour une drôle de journée. Pour une fois en quatre ans et demi, je n’eus pas le droit à un réveil en fanfare. Bien étrange car le vieux ronchon a pour habitude de me réveiller avec un sceau d’eau si je ne suis pas debout au aurore. Je me levai, me prépara pour l’habituelle entrainement en regardant l’heure, neuf heures du matin! Oulah le vieux devait être malade. Je sorti dehors voir ou il se trouvait. Je fus accueilli par une douce brise d’aire pure de montagne. J’avais oublié que l’ont ce trouvaient sur un plateau assez élever et, plus tôt pas mal joncher de rocher. Je me dirigeai vers un des rochers des plus grands de ce plateau le lieu préférer du vieux car, c’est à cette endroit que j’avais le plus de chance de le trouver. Je ne m’étais pas trompé, il passait tous son temps ici quand il ne dormait pas depuis que l’on était arrivé ici et encore, je n’en étais pas sûr. Une fois de plus il me remarqua même si il ne me voyait pas à croire qu’il avait des yeux dans le dos.

Bien étrange de la part du maître de parler comme sa je me demandais ce qu’il me préparait.

C’est ainsi après encore plusieurs autres conseils et m’avoir fournis une carte de l’île que je pris le chemin vers le port. Je fus content que l’autre mes fourni une carte car, sans cela je me serais bien pommer une dizaine de fois. Il avait fallu que je réussisse déjà à descendre du col qui était escarper et, vu que apparemment personne ne montais jusque-là il n’y avait pas de chemin. Obliger de descendre un peu n’importe comment.

Au bout d’une bonne heure et demi de descente bien laborieuse je fini par tomber presque nez-à-nez avec les porte de la ville. Je repérai rapidement la base mais, me doutant qu’il ne me lacerait pas rentrer aussi facilement comme ça dans la base. Je décidai de faire un tour part le port, l’endroit où ma cible devais arriver. Je me postai sur un toit ou j’avais une bonne vue sur le port. Je n’attendis pas très longtemps, le bateau se pointa rapidement le capitaine sorti rapidement mais ne traîna pas sur le port mais, les autres marine charger de décharger le navire prirent plus leurs temps. Je remarquai un homme un peu étrange qui marchait d’une manière légèrement différente. Je n’y fis pas plus attention que sa j’attendis que le chef s’en aille puis, je descendis de mon toit et profita qu’il n’y est personne pour me faufiler dans une caisse que personne ne surveillais puis, j’attendis mais voyant que ça allait être long je m’endormis.