Histoire Si aujourd'hui Kimiro est connu comme l'un des Capitaine Corsaire, rien au départ de l'aurait prédestiné à cette vie. Si il en est arrivé à cette existence c'est suite à un passé tumultueux.
Enfant, alors qu'il entamait l'apprentissage du kendo comme tous les enfants du pays de Wa, notre jeune garçon estimait être au dessus de tous. Son père étant un ancien héro, un bretteur hors pair, Kimiro s'est mis en tête que le talent paternel était héréditaire. Seulement il n'en était rien, il n'était qu'un élève moyen. Pour couronner le tout, il avait décidé de n'apprendre qu'une seule technique, le iaido qui consiste à dégainer et trancher en un seul mouvement estimant qu'il n'avait pas besoin de plus d'un coup pour venir à bout de n'importe qui.
Au fil des ans, rabaissé par ses camarades et soit disant amis, rabroué par son maître, cette vie l'insupporte. Un soir dans une rage infinie, il assassine son maître et fuit son île natale à l'âge de vingt ans. Malheureusement pour lui, loin d'égaler la puissance habituelle de ses pairs, pour survivre il est rapidement obligé de prendre la route du Paradis, la première partie de Grand Line.
Toujours imbu de lui même et malgré sa solitude, il se prétend le meilleur bretteur au monde et n'hésite pas à défier quiconque porte un sabre. Au fil des années il s'est constitué un équipage persuadé de la justesse de son mensonge et lui vouant un véritable culte. Écumant Grand Line, il s'en prend à tous les bretteurs qui croisent sa route prouvant ainsi sa prétendue supériorité.
En revanche son surnom lui n'est pas usurpé. "Le samouraï déchu" vient du fait que lors des duels aux résultats plus que mitigés, il n'hésite pas à faire appel à ses hommes pour sournoisement jouer le surnombre et l'effet de surprise afin de prendre le dessus.
Bien qu'il soit un homme cultivé ayant une certaine classe, il n'en reste pas moins un pirate des plus cruels. Ainsi, sauf cas d'extrême nécessité, il préfère capturer les sabreurs et s’entraîner sur eux en les mutilants. Le summum de sa cruauté est de les découper petit bouts par petits bouts tout en les soignant au fur et à mesure afin de les garder en vie le plus longtemps possible. Une fois ses jouets cassés, il expose fièrement leurs têtes sur les mâts, la proue et la poupe de son navire. Quant aux corps eux, ils sont jetés au prochain port afin que personne n'oublie qu'il est le meilleur de tous.
Malgré sa cruauté, la Marine lui a proposé un poste de Capitaine Corsaire suite aux nombreux pirates à son palmarès. A cette époque sa prime s'élevait à 160 millions de berrys.